Histoire
I-Tracer son propre chemin :Aussi loin que je me souvienne, je n’ai jamais connu mes vrais parents. J’ai grandis dans un orphelinat au cœur d’un petit village, au côté de mon ami qui était pour moi comme un grand frère, Humphy Alexander Dumphy.
Un jour, je suis arrivé dans un orphelinat et une femme, que j’appellerai plus tard Mama m’avait recueilli. Elle me traita comme son propre fils et sans m’en rendre compte, je l’ai considérais comme ma mère, la seule est l’unique, ma mère biologique.
Le temps passait et nous grandissions. Mon ami, Alexander, croyait en l’existence des haricots magiques, les cherchant sans relâche, j’avais décidé de lui prêter main forte. Nous trouvions des haricots rouges, des verts, mais jamais d’haricots magiques. Nous avions beau chercher, tous nos efforts se soldaient pars des échecs.
Alexander perdait peu à peu patience et pour combler son sentiment de frustration, il s’était mis à voler. Je ne pouvais pas vraiment le juger car j’ai été son complice car un jour il m’avait aidé alors que rien ne l’obligeais à le faire alors, depuis ce jour, je me suis promis de le protéger et de l’aider du mieux que je le pouvais. Ont faisaient bien d’autres bêtises, mais un jour, ça à mal tourné. Alexander ouvrit sans le vouloir la porte de l’enclos du torot en lançant un caillou, impossible me direz-vous, mais pourtant vrai, mes amis. Tout c’est passé très vite, l’animal devin fou, fonçant vers une vieille dame. Je réagis d’instinct, sautant sur lui pour l’arrêter, m’accrochant à ses cornes et le fis chavirer. Tout le monde me félicita, tout le monde me traita en héros, ma mère, heureuse, me donna des bottes et un chapeau.
« Porte-les avec dignité »
C’est ce qu’elle m’avait dit, elle semblait si fière de moi, mais pendant ce temps, Alexander resta seul, oublié de tous. J’avais à présent des responsabilités et un honneur à ne pas bafouer, je n’avais plus le droit de faire des écarts de conduite alors lorsque mon ami vint me voir avec un nouveau plan, j’ai refusé et je pense que, quelque part, ma réponse brisa notre lien que je pensais pourtant si fort.
Une nuit, il était venu me chercher, il semblait affolé, prétextant que les orphelins le pourchassaient. Il était toujours mon ami, et mon frère, alors je décidais de l’aider encore une fois. Il m’emmena devant la banque, je ne comprenais pas pourquoi il m’avait emmené ici, il trouva une carriole et jeta des paquets qui venait de la banque. Une fois ça besogne fini, il remonta à côté de moi.
Il venait de voler les villageois, ces même villageois qui nous avaient vus grandir et qui nous faisaient confiance, qui « ME » faisaient confiance. Je me sentais trahi, trahi par celui que je considérais comme mon plus précieux ami et à cause de ma naïveté, j’avais déshonoré les bottes que Mama m’avait offertes. Nous avons essayé de fuir, mais la charrette bascula et tomba dans le vide en dessous du grand pont. Tout c’est passé très vite, Alexander était à terre et il ne pouvait plus se relever, les gardes arrivèrent et il me supplia de l’aider. Fou de rage envers lui et blesser par sa traitrise, je l’ai laissé à terre et sauta du pont, laissant derrière moi, mon ami, mon village, mon enfance et ma mère.
II : Ne vivre que pour soit :Les mois puis les années passèrent, j’avais changé, devenus à présent fort, fourbe et terriblement séducteur. Une chose n’avait pas changé, effacé plutôt, c’était ma culpabilité envers ceux que j’avais trahis et lâchement abandonné. J’étais également devenu un hors-la-loi et tout ceux qui capturerait ma personne aurait droit à une très belle somme d’argent, inutile de vous préciser qu’aucun n’y était vraiment parvenu. Le Chat Potté n’était pas facile à garder près de soit !
Un beau soir, je fis la connaissance d’une ravissante minette, elle se nommait Kitty patte de velours et était aussi sublime que dangereuse. Une très mauvaise surprise ou plutôt une ancienne connaissance recroisa mon chemin cette même nuit, l’œuf, Humphy Alexander Dumphy. Il était réapparu et ma colère envers lui, qui au fil du temps s’était quelque peu éteinte, avait rejaillit de plus belle.
Il voulait que je l’aide, encore une fois, pour trouver ses haricots magique, comme autrefois, mais cette fois il pensait être sur la bonne piste. Après mûres réflexions, j’ai décidé de les aider à s’emparer de l’oie aux œufs d’or.
Il désirait sauver le village dans lequel nous avions grandit grâce à cette oie. Je pensais sincèrement qu’Alexander avait changé et que nous aurions pu renouer des liens ensembles, mais la fin de ce périple me prouva à quel point j’avais été naïf, encore une fois. Je n’avais pas le choix, me rendant au commandant du village et accepta mon destin, celui de hors-la-loi et faisant, enfin, face à mes fautes passées.
Grâce à ma fourberie, quelques tours de passe-passe et sans oublier l’aide précieuse de Kitty patte de velours, j’ai pu m’en sortir. La véritable fin de cette aventure m’as davantage plus, j’ai pu sauver mon village et j’ai pu une fois de plus m’échapper sans encombres.
III : Le véritable sens de l’amitiéIl y a des rencontres que l’on ne peut oublier, surtout une rencontre avec un homme, ou plutôt un ogre, comme Shrek. Pour tout vous dires, le Roi de For-For-Lointain m’avais engagé pour le tuer car ce bon vieux Roi n’acceptait pas que sa chère fille soit transformée en ogresse de façon permanente et il acceptait encore moins le fait qu’elle se soit marié avec ce Shrek. Il aurait voulu ou en tout cas préféré qu’elle promette amour et fidélité à un homme dénommé : Charmant, mnh, je ne ferais pas de commentaire sur celui-là. J’ai affronté l’ogre et il m’a battu sans difficultés, me rangeant finalement à ses côtés, devenant pour lui, un précieux allié.
En y repensant, il avait bien besoin d’un allié comme moi, mon pauvre ami avait un don pour se mettre dans des situations compliqués et plus farfelus les unes que les autres. En particulier pour cette histoire de trône, nous avons fait des jours entiers de bateaux pour aller chercher le prince Arthur, un autre héritier du Royaume. Ah, ce bon vieux Arthy, il a pas mal appris sur le tas, c’était un bon petit. Il fera un grand Roi, parole de chat, héhé.
Les péripéties n’étaient pas encore finis, le royaume retrouva sa tranquillité d’antan pendant quelques années, mais c’était comme le calme avant une effroyable tempête. Shrek avait perdu ses envies d’ogre et était presque « domestiqué », cette vie l’ennuyait fortement. A force de signer des autographes, il a signé par erreur, un contrat avec un magicien et nous avons tous étaient transporter dans une dimension parallèle. Bon, ça ne s’était pas vraiment passé comme ça, mais ça n’a aucune importance. L’important, c’est qu’as cause de cet idiot, j’étais devenu bouffis et je n’avais plus aucun charme. Schrek a réussi à ressembler notre ancienne équipe et nous avons tenté de combattre ce magicien, mais c’était sans doute trop tard et une lumière vive nous aveugla.
IV- Miaou ?! Mais qué passa !Quittant peu à peu les bras de Morphée en m’étirant lentement, profitant de ce réveil calme et agréable. Un long bâillement passa la barrière de mes lèvres et je vis arriver une femme sublime portant comme seul vêtement une chemise masculine, la mienne sans aucun doute. Etrange, je ne me souvenais pas avoir passé la nuit avec cette belle señorita, ni que je la connaissais. La belle inconnue avança vers moi d’une démarche féline et aguicheuse, je me redressais pour l’accueillir comme il convenait.
Ce que je ne comprenais pas, c’était l’étrange sensation d’avoir étais un animal quelques secondes auparavant, un chat pour être plus précis. J’observais avec attention mes mains sans me rendre compte que la señorita était à présent assise sur moi.
« Enfin réveillé, señor Koneko ? »
Kitty ? Ce nom inconnu avait traversé mon esprit à la seconde ou je l’avait vu, je n’avais pourtant jamais connu de Kitty.
Je posé mes lèvres sur les siennes et l’embrassa avec une passion presque…sauvage, laissant de côté mes réflexions, profitant seulement du moment présent.
Ce n’était sans doute qu’un rêve, après tout, qu’est ce que ça pouvait être d’autre ? Complètement farfelus ! J’ai sans doute dû mettre, sans le vouloir, du whisky dans mon verre de lait hier.
V- Retour aux sources ou simple rêve ?Cinq ans ce sont écoulés, Cinq ans pendant lesquels j’avais appris à vivre parmi cette population que j’avais l’impression d’avoir déjà connu. Certain nom faisaient naître en moi un sentiment inexplicable comme si je les avais oubliés. J’étais à présent professeur de Kendo avec un salaire correct, mais détrompez-vous, je ne me contentais pas seulement de ça. J’étais agile de mes doigts et fourbe, deux qualités que je ne manquais pas d’utiliser pendant de nombreuses parties de poker. Grâce à cela, j’étais complètement indépendant et j’avais une situation de vie excellente. Le petit plus pour attirer la gente féminine, un bel appartement et une voiture de sport, rouge bien entendu, même si je n’avais pas vraiment besoin de ça pour plaire car mes atouts naturels suffisaient à eux-mêmes. C’était seulement un plaisir personnel.
Le travail de prof ne me déplaisait pas et c’est justement dans le dojo dans lequel j’enseignais qu’une chose étrange met arrivé. Les élèves étaient tous partis et j’étais resté pour régler deux ou trois choses jusqu’au moment ou mon attention fus attiré par une fine épée d’escrimeur accroché au mur. Je l’ai longuement regardé, pour ensuite la prendre en main. Me battant ensuite contre un ennemi invisible, enchainant gestes vifs et saltos, une sorte de nostalgie m’envahis sans que je comprenne le véritable sens de cette impression d’avoir déjà vécu cela auparavant.
Un bruit attira mon attention, ce qui me surpris car en théorie, j’étais seul puis un flash. Un chat dressé avec fierté sur ses deux pattes arrières, chaussé de bottes, une ceinture à la taille et un chapeau. Il avait une épée en main, se battant contre plusieurs ennemis à la fois, mais aucun ne lui arrivaient à la cheville, il semblait comme danser autour d’eux.
Mes yeux se rouvrirent, je reprenais peu à peu conscience. Une migraine me menacé, rendant mon réveil douloureux, je m’assis au sol et regarda l’épée, toujours à terre. Quel était cette étrange impression que je ressentais et pourquoi mon intuition me disait que ce n’était peu être pas seulement un rêve ?
VI- Désirez-vous savoir ou j’en suis aujourd’hui ?Je n’ai alerté personne suite à ce rêve plus qu’étrange, mais soyons honnête, qui aurais-je pu appeler ? Je n’ai aucune famille, pas d’amis assez proches pour confier mes inquiétudes et je ne tenais pas à ce que mes conquêtes me prennent pour plus fou que je ne l’étais.
Je me pose cependant, de plus en plus de questions bien que mon emploi du temps très chargé ne me laisse pas vraiment de temps pour avoir quelques minutes de réflexions. Entre les cours que je donnais, mes entrainements personnels pour me maintenir en forme et les nuits que je passais en charmante compagnie, j’étais très occupé.
La vie continuait, mais il semblait que la ville en elle-même était en train de changer ou plutôt ses habitants. Certaines personnes créaient des liens entre-elles plus rapidement que la normale, comme si, un fil invisible les reliés depuis toujours et qu’ils se seraient enfin retrouvés. J’observais le monde, sans comprendre d’où venait cette impression désagréable de ne pas être vraiment chez moi. Mon rêve étrange qui daté de cinq ans, ne me semblais plus tout à fait dingue et j’avais la conviction de ne pas avoir étais humain toute ma vie.