| | don't give me love, don't give me faith, wisdom nor pride give innocence instead. | |
| Auteur | Message |
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Kayden Wang Messages : 304 Age : 30 Date d'inscription : 14/02/2013 Localisation : peut-être à gauche, ou bien à droite ? si tu fermes les yeux je suis là, et si tu les ouvres je ne le suis plus. regarde en haut et je suis en bas. tend le bras vers moi, tu ne m'atteindras pas.
| Sujet: don't give me love, don't give me faith, wisdom nor pride give innocence instead. Dim 17 Fév - 18:44 | |
| once upon a time ...
wangceleste&wangkayden
“Alice didn't think that proved it at all; however, she went on: 'And how do you know that you're mad?' 'To begin with,' said the Cat, 'a dog's not mad. You grant that?' 'I suppose so,' said Alice. 'Well then,' the Cat went on, 'you see, a dog growls when it's angry, and wags its tail when it's pleased. Now I growl when I'm pleased, and wag my tail when I'm angry. Therefore I'm mad.' 'I call it purring, not growling,' said Alice.”
Dernière édition par Kayden Wang le Dim 17 Fév - 22:33, édité 1 fois |
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Kayden Wang Messages : 304 Age : 30 Date d'inscription : 14/02/2013 Localisation : peut-être à gauche, ou bien à droite ? si tu fermes les yeux je suis là, et si tu les ouvres je ne le suis plus. regarde en haut et je suis en bas. tend le bras vers moi, tu ne m'atteindras pas.
| Sujet: Re: don't give me love, don't give me faith, wisdom nor pride give innocence instead. Dim 17 Fév - 18:45 | |
| J'ouvris les yeux lorsqu'un rayon de soleil vint taper sur mes paupières encore closes. Pourquoi déjà avais-je oublier de fermer mes volets alors que nous étions un Dimanche matin ? Le seul jour de la semaine où je pouvais dormir vingt heures sur vingt-quatre sans que personne ne vienne me déranger. Enfin, presque. Je savais que ça gênait un peu Celeste de me voir passer ma vie vautré sous les couettes de ma trop grande chambre. Le soleil recommençait à se lever un peu trop tôt à mon goût. Et c'est ainsi que lorsque je jetai un œil vers mon réveil, je découvris qu'il n'était en fait que six heures du matin à peine passées. Je soupirai. L'envie de me lever et de fermer les volets ne m'enchantant pas plus que cela, j'enfouis de nouveau ma tête sous l'oreiller en réfléchissant. Soit je me levai fermer ces fameux volets pour avoir un courant d'air froid qui me réveillerait définitivement dès lors que j'aurais ouvert les fenêtres, soit je me levai pour de bon … les deux solutions ne m plaisaient guère. J'ouvris les yeux et fixai ma peluche avec une moue dépitée. Que fait-on, hein ? Que fait-on. Je le fixai quelques secondes de plus, sur le point de me rendormir, quand une idée me traversa l'esprit. J'ouvris de grands yeux et me mis à sourire. Déposant un léger baiser sur ma peluche, j'attrapai mon coussin et m'extirpai hors de mon lit. Mon pyjama, trop grand pour moi, tombait sur le côté, dévoilant mon épaule alors que les manches couvraient mes mains. Je marchai carrément sur le bas de mon pantalon et veillai – autant qu'un endormi pouvait le faire – à ne pas me vautrer minablement dans le salon. Le trajet me parut durer des heures, alors qu'en réalité il n'était pas si long que cela. J'arrivai à destination et appuyai sur la poignet de la porte le plus doucement possible, cherchant à faire le moins de bruit – mais dans le silence d'une maison endormie, même la marche d'une fourmis paraîtrait bruyante. J'entrai dans la sombre pièce et traînai des pieds jusqu'au lit de ma sœur aînée, me glissant dans les couvertures avec elle alors qu'elle dormait encore. Cela faisait longtemps que je n'avais pas fait ça. Pourtant, j'aimais bien l'odeur de Celeste. J'observai son visage endormi et me mit à sourire doucement. Je ne resterai qu'un petit peu, elle ne se rendra compte de rien.
Quelque chose me tracassait tout de même. Par là, j'entendais cet espèce de flash que j'avais eu devant l'horloger. Où elle était Alice et moi le chat de Cheshire. C'était ridicule, n'est-ce pas ? Je ne pouvais pas être un chat. Même s'il parlait, il n'était pas humain et moi, j'étais humain. Et puis, ce n'est qu'un ridicule dessin animé. Ce n'est pas comme si c'était un quelconque film avec un pauvre mec qui me ressemblait et au même caractère que moi, hein ? Quand à Celly noona, d'accord, elle était de nature tout à fait curieuse comme demoiselle. D'accord, elle serait capable de se jeter dans un terrier si jamais une des proies qu'elle poursuivait s'enfonçait dans son trou. Mais suivre un inconnu de la sorte, le ferait-elle ? Un lapin blanc, en plus. Non. Elle ne serait pas assez inconsciente – stupide – pour faire ça, si ? Son visage était tellement paisible lorsqu'elle dormait qu'à bien y réfléchir, je me demandais si sa curiosité poussée et sa naïveté ne seraient pas les deux facteurs importants qui lui feraient bel et bien tomber la tête la première dans un trou. Je perdis tout sourire et tout air attendri pour faire place à une moue dégoûtée. Je n'allais jamais avoir le repos, vivre tranquillement, c'était ça ? J'allais passer toute ma vie à vérifier que ma grande sœur ne se mette pas dans les pétrins les plus improbables, c'était ça ? J'avais encore des bleus sur les côtes de ma dernière rencontre avec des molosses qui avaient envie de passer l'envie à ma sœur d'être paparazzi. Il faudrait peut-être qu'un jour je lui dise de surveiller ses arrières, je serais peut-être pas forcément là pour veiller sur elle, hm … Au cas où je redeviennes un chat, par exemple ? … Nah, quelle connerie. Je fermai les yeux quelques secondes et, finalement, je vins à m'endormir minablement à côté d'elle. Sans m'en rendre compte – pendant que je rêvais de camélias et de lilas – mon bras vint de lui même s'enrouler autour de sa taille et je me collai à elle. Ces rêves ne me plaisaient qu'à moitié, pour être sincère. Pas parce que j'étais possiblement un chat, mais davantage parce qu'elle n'était possiblement pas ma grande-soeur. Et si il s'avérait qu'elle ne l'était pas … elle repartirait ? Si on suit le conte d'Alice, elle a une grande sœur. Et si elle repartait avec cette sœur et me laissait tout seul ? Je n'ai jamais trop su pourquoi, mais j'avais une immense peur de la solitude. Bien sûr, j'adorais le calme et j'aimais bien être tout seul de temps en temps. Mais si j'aimais bien être seul, c'était parce que je savais que quand je rentrerais le soir, Celly noona serait là. Ou arriverait à peine après moi. Si jamais un jour je devrais rentrer chez moi et que je n'aurais plus personne.Alors autant ne pas rentrer. Lorsque j'ouvris de nouveau les yeux, j'étais seul dans la pièce, dans le lit. Quelle heure était-il ? Aucune idée. Pris d'une certaine panique, je me relevai assis et regardai autour de moi. Affolé. « Noona ? … » pas de réponse. « Noona !!? » Non, décidément, je ne pourrais jamais me résoudre à être de nouveau tout seul.
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Celeste Wang Messages : 36 Date d'inscription : 16/02/2013
| Sujet: Re: don't give me love, don't give me faith, wisdom nor pride give innocence instead. Dim 17 Fév - 21:05 | |
| Je me retrouvais de nouveau autour de cette table où tasse de thé, gâteaux, et autres mets en tout genre. Je me retrouvais une fois de plus en compagnie du chapelier fou et du Lièvre de Mars. J'étais encore habillée de ma robe bleue et de mon tablier et l'on fêtait un non-anniversaire, nous ne savions même plus de qui mais nous le fêtions malgré tout. Ma crainte et mon incompréhension avait laissé place à de l'amusement et je me prêtais au jeu, souhaitant à mon tour un joyeux non-anniversaire à je-ne-sais-qui. Je bus dans la tasse où l'on venait de me verser du thé tout en regardant autour de moi et j'aperçus le chat de Cheshire qui me sourit de toutes ses dents ; il m'était tellement familier, il ne pouvait être lui malgré tout. Je me levais de ma chaise et me dirigea vers le chat qui était sur la chaise au bout de la table, en face de moi. Sans que je comprenne ce qu'il m'arrivait, je me retrouvais couchée au sol à faire la révérence, à mes côtés les valets-cartes de la Reine rouge. Je ne me sentais pas en sécurité, il fallait que je parte mais je ne pouvais pas, pas maintenant. Elle piqua une crise lorsqu'elle se rendit compte que ses roses étaient blanches et non rouges et ordonna qu'on coupe la tête des valets-cartes. Elle s'intéressa à moi et je sentis la menace peser sur moi, son visage était si proche du mien que je me perdis dans son regard où je me vis courir. L'instant d'après, j'étais en train de courir, cette scène, je l'avais vu en rêve si souvent. Une porte était face à moi et je n'arrivais pas à l'atteindre, la Reine et ses sujets me pourchassaient. J'essayais d'atteindre la porte mais ils se rapprochaient, vite...elle va me couper la tête...elle...
J'ouvris les yeux d'un coup, sursautant légèrement. Ce n'était qu'un rêve, toujours le même. Ce n'était pas possible, je ne pouvais être Alice et Kayden le chat de Cheshire, tout simplement parce qu'il est humain, ça n'a aucun sens ! Certes, Alice et moi avions des points communs mais même, elle n'était qu'un personnage issue de l'imagination d'un homme, alors que moi, je n'avais jamais mis les pieds au pays des merveilles ! Je le redis, ces rêves incessants n'avaient aucun sens et ça m'énervait. Je fus surprise de trouver blotti contre moi mon petit frère, Kayden. Quand est-ce qu'il s'était introduit dans mon lit ? Qu'importe, cela faisait longtemps que nous n'avions pas dormi ensemble et ça ne me dérangeait pas qu'il soit là, au contraire, sa présence m'apaisa de suite, effaçant mes rêves et source de mes soucis. Je souris en voyant son visage enfantin apaisé, serein. Je restais quelques minutes à le contempler en souriant avant que mon ventre ne gronde, signe qu'il était temps pour moi de me lever et de déjeuner. Je tentais d'enlever le bras de Kayden doucement pour ne pas le réveiller et sorti de la chambre sur la pointe des pieds. Je m'aventurais dans la maison dans mon pyjama qui se constituait seulement d'un trop grand tee-shirt et descendis les escaliers pour atteindre la cuisine. J'ouvris les volets, me dépêchant pour éviter d'être frigorifiée par le vent froid du matin. Je mis le thé à chauffer et sorti deux tasses puis commença à préparer des pancakes, j'avais envie de faire plaisir à Kayden en apportant le petit-déjeuner au lit et ainsi passer du temps ensemble.
« ...na ? … » Je levais la tête, croyant avoir entendu quelqu'un crier mais après avoir attendu un moment sans bruits, je me remis à cuisiner. « Noona !!? » Cette fois, je ne rêvais, Kayden m'avait appelé et d'une voix paniquée. Je paniquais à mon tour et pris la première chose qui me tomba sous la main, c'est-à-dire une spatule et monta les escaliers à toute vitesse pour rentrer dans ma chambre comme une furie, la spatule comme arme. « Kayden ! Tu vas bien ? Qu'est-ce qu'il y a ? » J'inspectais les alentours, m'attendant à voir surgir un colosse à tout instant puis lorsque je constatais qu'il n'y avait personne, je re-posais mon regard sur mon frère qui semblait perdu. Je ne pus m'empêcher de m'approcher du lit et de m'assoir au bord, prenant sa main d'un geste rassurant. « Eh, je suis là ». Je lui souris, voulant enlever ses inquiétudes, quelqu'elles soient. Tout à coup, je sentis une odeur de brûler et me rappela mes pancakes. Je me levais d'un bond et dévala les escaliers en criant à Kayden de ne pas bouger du lit. J'enlevais mes pancakes du feu, juste à temps. Je souris de satisfaction et les disposa sur des assiettes avant de les mettre sur un plateau ainsi que les deux tasses de thé. Je pris du sucre et du sirop d'érable et portais le plateau précautionneusement pour ne pas faire tomber le plateau ou le thé. Sous la concentration, le bout de ma langue sortit de ma bouche et mes sourcils se froncèrent et j'arrivais ainsi dans ma chambre. Je me détendis alors et souris de toutes mes dents. « Surprise ! » m'écriais-je à l'intention de mon frère. |
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Kayden Wang Messages : 304 Age : 30 Date d'inscription : 14/02/2013 Localisation : peut-être à gauche, ou bien à droite ? si tu fermes les yeux je suis là, et si tu les ouvres je ne le suis plus. regarde en haut et je suis en bas. tend le bras vers moi, tu ne m'atteindras pas.
| Sujet: Re: don't give me love, don't give me faith, wisdom nor pride give innocence instead. Lun 18 Fév - 21:44 | |
| Un silence. Puis un bruit fracassant de pieds tapant sur les marches, et je réalisai que j'avais peut-être fait une erreur. Paniquer pour rien n'était pas vraiment ma spécialité. Néanmoins pour le coup on pouvait bel et bien affirmer que j'avais beaucoup trop foirer pour en vouloir à ma sœur de me menacer avec une spatule. Je cillai, soudainement bel et bien réveillé quand son regard affolé scruta les moindres recoins avec son arme fatale entre les doigts. Ça pour un réveil, c'était un réveil. Je penchai la tête sur le côté, clignai des yeux à plusieurs reprises quand elle me demanda si j'allais bien. J'étais partagé entre lui dire que j'avais juste fait de mauvais cauchemars et que j'allais très bien – ou lui dire que c'était actuellement elle qui me foutait gravement la trouille avec son air de cuisinière psychopathe. Je me mis à bégayer des mots incompréhensibles, plus sous le choc que la peur et elle vint tout doucement s’asseoir à mes côtés. Je l'observai avec de grands yeux ronds, la laissant prendre ma main. En fait, c'était probablement pas le moment de là contrarier où j'allais me retrouver avec des traces de spatule sur la joue. Je n'en avais que peu envie. Il était trop tôt le matin pour que j'aie envie de réagir à quoi que ce soit d'étrange qui m'arrivait – sinon je n'avais pas fini. Celeste me sourit et c'est à ce moment-là que je me rendis compte que j'avais retenu ma respiration. Je me détendis de nouveau et ouvris la bouche pour parler quand elle sembla soudainement se rappeler de quelque chose. Elle lâcha ma main et sortit de la chambre en trombe, dévalant les escaliers avec une rapidité hallucinante. Je voulus me lever et la suivre – au cas où quelque chose de grave serait arrivé pendant mon sommeil – mais dès lors que j'avais sorti mes deux petits pieds de la couverture, sa voix résonna. Elle m'ordonna de ne pas bouger. Je m'empressai de rentrer mes pieds au chaud et haussai les épaules au vide. Ne pas bouger. Rester au chaud. Okay. Chose pas vraiment compliqué pour moi. Je laissai ma tête retomber en arrière et commençai à fermer les yeux, dans le but de continuer à somnoler un petit peu même si son entrée fracassante m’avait complètement tiré hors de ma torpeur. Quelques minutes après, les bruits de pas se faisaient de nouveau entendre dans les escaliers et je ne pus m’empêcher de crier à son attention, sachant qu’elle prendrait probablement ça mal avant de se rendre compte que je plaisantais. … Enfin, est-ce que je plaisantais ? Peut-être pas. Qui sait. « Ah Celly Noona m’a ramené des filles exotiques pour que je m’amuse avec de bon matin, c’est ça ? » Je savais bien que ce n’était peut-être pas approprié de faire ce genre de blague tôt le matin mais, hah, je sais pas. J’avais juste envie de taquiner mon entourage de bon matin. Elle apparut sur la pas de la porte en s’écriant un bon vieux surprise et je retirai mon avant-bras de mes yeux clos. Je me redressai assis et haussai un sourcil avant d’attraper le plateau à bout de doigts. Je sortis de nouveau les jambes des couvertures et m’assis par-dessus afin d’éviter de salir les draps. J’avais beau être un petit garçon poli, je mangeais comme … comme un porc. J’attrapai un pancake avec les doigts et l’enfournai ni vu ni connu dans ma bouche en fixant l’assiette. Combien je pourrais en mettre dans ma bouche ? Tous. J’étais pratiquement sûr qu’ils entreraient tous dans ma bouche sans le moindre souci. En fait, aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été quelqu’un qui mangeait énormément et en grosse quantité. Je pouvais bénir le ciel de ne pas être un vieux porc gars et repoussant. Pas que je me considère comme un Dieu vivant – mais pas mal de demoiselles me considéraient comme tel et c’était assez pour prouver que je ne finirais probablement pas ma vie tout seul à regarder la télé pendant que ma sœur sera mariée avec quatre enfants à un type que je ne serais jamais capable d’aimer. Quoi ? Un type qui me vole ma grande-sœur et l’emmène loin de moi ne peut pas entrer dans mes bonnes grâces, aussi sympathique puisse-t-il être. Oh, bien sûr, je ferais semblant pour elle. Mais si jamais elle se décide de se marier avec lui, je crois que je lui poserais trop de questions pour son bien. Mais je suis aussi pratiquement sûr que, vu comme elle est, elle connaitra toutes les informations possibles sur son futur mari et qu’elle saura parfaitement où elle mettra les pieds.ça ne me plait pas. Mah, je suppose que je devrais être content d’avoir une sœur tellement curieuse que si jamais elle tombe sur un homme pas fréquentable, il sera immédiatement repéré. Je tournai les yeux vers ma sœur et la fixai avec un air dépité. Elle était trop jolie pour qu’elle finisse seule. Elle était trop adorable et attentionnée pour qu’un homme la rejette. Ça ne me plait pas. « Nee-sama, dis moi … » commençai-je en enfournant un nouveau pancake dans la bouche avant de continuer à parler, je sais très bien que c’était poli – mais franchement est-ce que j’ai la face du gentil gamin qui en a quelque chose à foutre ? Pas vraiment. « Tu m’as menace avec une spatule, hein. » terminai-je de ma voix blasée. Je posai le plateau à côté de moi et croisai les bras sur ma poitrine, assis en tailleur, tel un gosse de huit ans. « C’est pas cool comme réveil. Et puis c’est moi qui voulais te faire du thé, d’ailleurs. Tu m’as encore devancé. Je vais bouder jusqu’à ce que tu ne manges pas au moins trois pancakes. » Je tournai la tête sur le côté, ne voyant rien d’autre qu’un magnifique mur sombre dû au fait que les volets étaient encore fermé. Génial. Je voulus ouvrir de nouveau la bouche, mais m’arrêtai en remarquant que j’avais du sirop plein les doigts et un bout sur le coin de la bouche. Qu’est-ce que je disais. Un vrai porc. Je fixai ma sœur en lui demandant de manger une dernière fois alors que le me léchai les doigts et retirai le petit bout. Alice serait-elle vraiment capable de faire à manger au chat de Cheshire ? Franchement, j’en doutais. Et puis. Le chat de Cheshire serait-il capable de faire preuve de possessivité envers Alice? Serait-il du genre à agir de manière puérile face à elle ? Non, non, et définitivement non.
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