Wansu Apon a Taimu
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 Je crois qu'il y a un léger quiproquo là...

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Kia Kwon

Kia Kwon

Messages : 259
Date d'inscription : 24/02/2013

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MessageSujet: Je crois qu'il y a un léger quiproquo là...   Je crois qu'il y a un léger quiproquo là... EmptyJeu 28 Fév - 12:49

«Oh merde, pas lui ! Surtout pas lui ! Si il dit qu'il n'a pas payé devant les autres, ma réputation est finie..»
Se Jun Kim & Kia Kwon


Encore à la bourre. Quand j'ouvre les yeux, dans mon lit moelleux, après m'être étirée longuement, et avoir daigné jeter un regard à mon réveil, j'ai faillis faire un arrêt cardiaque. Il est dix-sept heure, et à vingts heures je dois être d'attaque en boite ou au bar, selon mon envie du moment. Sachant que deux soirs de suite je n'ai ramené aucun client, je sens bien qu'il faudrait que je me bouge un peu plus pour réussir à les faire payer une nuit à côté de la plus sublime créature de l'île. Parfaitement, la plus belle, la plus parfaite ; ce serais dommage de ne pas exploiter de telles capacités, on est d'accord, alors mon métier satisfait tout le monde. Après une rapide descende dans la cuisine, pour voir le mot de ma colocataire qui me souhaite une bonne journée, je pris un bol de céréales, alluma mon ordinateur, voir si aucun client n'avait pris rendez-vous sur ma page facebook. A part quelques notifications, rien de bien intéressant, et rapidement je jetais l'ordinateur portable sur mon lit. Mon vrai lit, pas celui que j'utilise avec mes clients, ce lit-là c'est quelque chose de pur, que je ne pourrais souiller avec un inconnu, aussi riche et séduisant qu'il soit. Dans cet écrin de douceur de draps et de couettes, je rêve, je dors, c'est bien le seul moment de sagesse et de bonheur que je m'accorde, alors c'est hors de question. Le peu de client qui ont osé demander de venir dans ma vraie chambre ont fini mal en point, je protège cette pièce comme mon trésor le plus cher. Je fini par aller sous la douche, y restant une bonne heure, pour la bonne raison : j'adore ça. Oui, c'est une raison suffisante pour laisser crever les pauvres baleines ou je sais pas quels animal marin, vive les longues et les bains !

Une serviette sur la tête, une brosse à dent dans la bouche, et me voilà plantée devant mon immense dressing. C'est le moment le plus délicat de ma journée de travail, ou plutôt ma soirée de boulot. Après tout, la première chose que les hommes regardent c'est mon corps, et il s'agit donc de le mettre en valeur sans pour autant tomber dans la vulgarité ; si je viens avec une mini-jupe, un haut qu'on pourrait confondre avec un soutiens-gorge, les hommes sentent que c'est mon métier, et n'osent pas s'approcher, or le but est avant tout de les séduire grâce à mon corps, mon charme, mon intelligence, et pour ça je dois être présentable. J'adore les habits, et grâce à ma Junie, j'ai un stock de vêtements parfait pour moi. Je commence à sortir des robes, des jupes, des jeans, des tops.. Tout ce qui me donne envie au moment présent. Puis un à un, je les vire, en le rejetant sur le canapé ; la femme de ménage rangera. Trop tappe-à-l'oeil , pas assez sexy, trop court, trop épais, trop.. moche.. Mon tri est rapide, efficace, mais pas forcément justifié, c'est là tout l'avantage d'être son propre patron, personne pour me dire ce que je dois faire, dire ou porter. Ce soir, j'ai envie de la jouer classe, et c'est un jupe noire fendue sur le côté droit qui retient mon attention. Les habits fendus plaisent beaucoup ; ça dévoile, ça laisse l'imagination vagabonder, mais ça reste sobre si c'est bien assorti. Et rien de tel que ce superbe haut argenté à bretelles et cette veste cintrée ! J'enfile le tout, pour contrôler dans le miroir. Une inspection rapide me fait sourire je suis ravie, c'est ce que je voulais. Puis j'enfile des escarpins noirs à talons, qui d'après pas mal de femmes sont vertigineux, mais sans huit centimètres sous mes pieds, je ne me sens pas présentable, alors j'en porte chaque jour. Sauf chez moi, ou je suis pas toujours présentable, il suffit de voir mon pyjama pour que le mythe de la sexy Kia s'effondre : un vieux T-shirt immense, avec un chien dessus. Mais quand j'ai des clients je fais toujours des efforts : porte-jarretelles, string, et soutiens-gorge transparents remplissent mes tiroirs. La phase maquillage reste superficielle, je me maquille très très peu, bien consciente que ma tenue est déjà souvent provocante. Pour ce soir un simple trait de liner noir, et du gloss suffiront. Dès que je suis prête, je sors pour pouvoir aller faire un peu de lèche-vitrine avant de commencer à travailler.

La rue, lieu magique et terrifiant à la fois. J'adore, mais j'ai une sensation d'insécurité en me baladant, comme si ce n'était pas ma place, pas mon territoire. Bien sûr, je savoure le regard des hommes sur mon corps ( mes jambes particulièrement, mises en valeur par ma jupe, j'en étais sûre.). Je ne leur adresse pas un regard, dans ceux qui marchent dans la rue je sais immédiatement reconnaitre un client potentiel : et aucun ce soir n'a le profil, je n'ai donc pas de temps à perdre avec eux. Je regarde ma montre, il est sept heures et quart, j'ai encore du temps pour flâner un peu, et passer chercher la paire de boucles d'oreilles commandée chez le bijoutier. A son sourire quand je pousse la porte de la boutique, je sais bien que je suis une cliente plus que régulière pour lui, et que je représente une grosse somme de son chiffre d'affaire, mais son travail est tellement parfait que je paye sans même regarder les prix exorbitants. Ce soir, il me tends une petite boite de velours rouge, et je vois scintiller deux plumes d'or, travaillées si finement qu'on dirait des vraies. Il rit devant mon air abasourdit, et me propose de les essayer, ce que je m'empresse de faire. Elle sont divines.. Je paye, sors de la boutique, et relève mes cheveux en chignon,s bien trop fière pour cacher cette superbe pièce de joaillerie. J'aime porter des belles choses, et j'assume l'argent que j'ai, alors je veux montrer chacune des mes acquisitions aux autres, c'est une vilaine habitude que j'ai. Je traine un peu dans les rues puis je vais jusqu'à la boite de nuit, souriante. Le videur, me connaissant bien me laisse passer devant le monde qui attends déjà, alors qu'il est tout juste vingts heures. Je le remercie d'un baiser sur la joue, et d'un clin d’œil, je sais entretenir mes relations moi.. Je m'assois finalement au bar, voulant faire un repérage de la salle avant de me mettre en chasse. Je n'ai pas le droit à l'erreur dans ma proie.. Je m'adresse au barmaid :


« Une vodka citron, pas trop forte.»

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Se Jun Kim

Se Jun Kim

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Date d'inscription : 27/02/2013

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MessageSujet: Re: Je crois qu'il y a un léger quiproquo là...   Je crois qu'il y a un léger quiproquo là... EmptyJeu 28 Fév - 22:26

«Oh merde, pas lui ! Surtout pas lui ! Si il dit qu'il n'a pas payé devant les autres, ma réputation est finie..»
Se Jun Kim & Kia Kwon


    Bon c’est décidé je me devais de me faire payer pour cette soirée. Voilà la première chose que je me suis dite en me réveillant en ce début de soirée. Heureusement pour moi j’étais de repos aujourd’hui au restaurant et je pouvais me consacrer à un seul de mes boulots. Enfin avant toute chose je voulais une seul chose récupéré mon fric auprès de cette belle blonde à qui j’avais donné le surnom de Barbie girl durant notre soirée en tête à tête. Un tête à tête fort sympathique mais pas du tout rentable pour quelqu’un comme moi qui ne roule pas vraiment sur l’or. C’était décidé je devais la revoir pour régler mes comptes avec la belle blonde. Je savais déjà où elle allait ce soir mes indiques avais pu me donner l’information contre une maigre récompense. Je me levais donc de ce si beau lit qui me servait à rejoindre Morphée tous les soirs, je partais ensuite dans la salle de bain pour pouvoir me laver un peu. Je commençais par prendre une bonne douche histoire de ne pas sentir le fennec puis sortait pour me brossais les dents. Une bonne hygiène et j’étais plus que sûr d’avoir au moins 2 clientes dans la soirée. Tout cela terminé je retournais dans ma chambre pour trouver de quoi m’habiller de manière correcte voir totalement sexy histoire de ne pas faire faiblir ma réputation. J’optais donc pour quelque chose de sobre mais efficace. Une fois prêt je prenais mes clé mon portefeuille puis sortais de chez moi direction la boite de nuit indiqué par mes agents presque secret. Je me regardais une dernière fois dans mon miroir puis allumais une cigarette pour fumer durant le trajet. Bien évidemment beaucoup de mon se retournais à mon passage pour voir qui était ce jeune homme bien classe dans un quartier comme celui-ci. Je riais d’ailleurs beaucoup car je commençais à être assez habitué à ce genre de chose mais j’avoue que l’air de rien ça flatter mon égo déjà plus que surdimensionné. Remarque je m’en fichais un peu comme de ma première couche culotte alors.

    Bref revenons à nos mouton, avec tout ça je vous ai pas dit que je venais de rentrer dans la boite de nuit en question. J’écraser ma cigarette puis la jetais dans le cendrier à l’entrée puis rentrais grâce à un joli billet. Je traversais ensuite la boite à la recherche de la blondinette qui ne devrait surement pas être super loin. Je pense d’ailleurs que mon sixième sens allait être très utile ce soir. Je pourrais même avec un peu de chance trouver quelques filles à papa qui ont quelques billets vert à utiliser en cette belle soirée étoilé. Quoi vous pensiez que j’allais gâcher ma soirée pour si peu. J’avais bien dans l’intention de me faire payer et en plus de trouver nouvelle preneuse pour la soirée. Enfin après avoir cherché pendant une bonne vingtaine de minutes je décidais de me diriger vers le bar et c’est là que je la trouvais. Elle semblait tranquillement assise en train de discuter avec le barman. Je m’avancer vers elle restant debout derrière elle un petit sourire triomphant sur les lèvres. Je sortais ensuite mon portefeuille et mettais un petit billet sur le comptoir devant le barman.

    « C’est ma tournée rajoutez une Vodka citron pour moi »

    Je m’asseyais enfin à côté de la demoiselle qui ne semblait pas avoir encore vu que je me trouvais à côté d’elle maintenant. Je rangeais mon portefeuille bien à sa place et attendais que la jeune fille se tourne vers moi pour qu’on puisse enfin s’expliquer sur cette soirée qu’il fallait que je boucle pour pouvoir passer à autre chose. En effet je ne faisais que penser à cette soirée, non pas parce qu’elle était bien mais vraiment pour la perte d’argents que j’avais faite et surtout la monnaie que j’ai dû avancer pour tous les verres consommé. Et oui pour moi je m’étais bien fait roulé alors maintenant il me fallait faire en sorte de ramener un minimum d’argent histoire de réduire le beau déficit que j’avais sur mon compte bancaire. Je me rapprochais ensuite de son oreille un sourire non disimulé sur les lèvres et me mit à chuchoter.

    « Alors comme ça on me fuit Barbie girl ? Il me semble que vous me devez quelques billets verts. Mon compte en banque attend une belle âme charitable comme la tienne pour le re-remplir un petit peu. »

    Je me remettais ensuite droit attendant la petite réaction de la belle qui semblerais surement un peu surprise que je l’ai retrouvé au vu de toutes les précautions qu’elle a pu avoir pour ne pas être retrouver de ma personne.


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Kia Kwon

Kia Kwon

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MessageSujet: Re: Je crois qu'il y a un léger quiproquo là...   Je crois qu'il y a un léger quiproquo là... EmptySam 2 Mar - 12:46

«Oh merde, pas lui ! Surtout pas lui ! Si il dit qu'il n'a pas payé devant les autres, ma réputation est finie..»
Se Jun Kim & Kia Kwon


Un sourire carnasier sur les lèvres, je scrutais avec une attention extrême la salle, cherchant du regard un client potentiel. Un homme attira mon regard, dans un canapé près de a piste, dans le coin VIP, une bouteille de champagne à la main. Pour prendre déjà une bouteille, c'est qu'il devait vraiment pas être habitué des fêtes, c'est totalement ringard.. Mais c'est aussi signe qu'il peut acheter cette magnifique bouteille, qui coûte relativement cher, et ça c'est bon signe pour moi. Je l'examine longuement : coup très soignée, chemise blanche bien taillée, de qualité j'en mettrais ma main à couper, et j'ai bien l'intention d'aller le vérifié en allant danser avec lui. Un pantalon de costume noir très chic, des yeux brillants, des dents blanches et alignées.. ça pue l'argent à plein nez, ça pue l'image, ça pue l'homme parfait pour une nuit avec moi. Peut-être même laissera-t-il un supplément, qui sait.. Je remet en place une mèche de cheveux du bout des doigts, me préparant à me lever pour aller voir ça de plus près quand un homme se glissa dans mon dos, en tendis un billet au serveur. « C’est ma tournée rajoutez une Vodka citron pour moi » Je crus tomber de mon tabouret en entendant cette voix. Mon client que j'ai oublié de faire payer, sûrement trop saoule pour y repenser au petit matin, quand il est parti. Je souris, ravie ; étais-je tombée sur un client honnête, qui venait me rembourser son dût? Il fallait faire ça discrètement, je ne voulais que ça se sache, sinon ma réputation d'escort girl impitoyable serait ternie, et j'avoue que ça m'embêterais pas mal. J'avais tout fait pour que cet anomalie de client ne me retrouve pas, alors le voir là ce soir me paraissait étrange. Même un homme avec qui l'on passe une nuit ne fait pas tant d'effort pour retrouver la fille, sans parler de travail, alors là j'étais totalement surprise. Mais soit, si il voulait me donner mon fric, qu'il le fasse et qu'on en reparle plus..Perdue dans mes pensées, je l'entendis finalement reprendre : « Alors comme ça on me fuit Barbie girl ? Il me semble que vous me devez quelques billets verts. Mon compte en banque attend une belle âme charitable comme la tienne pour le re-remplir un petit peu. » Cette fois, totalement larguée, je ne savais comment réagir. Ce mec voulait que je le paye ? Mais pourquoi est-ce que je payerais un client? Mais d'où il sort cet hurluberlu? Le jour où Ha Neul payeras un homme n'est pas arrivé, et n'arriveras jamais ! Le barmaid nous regardait avec un peu trop d'attention ; il est vrai qu'il me voyait souvent en chasse ici, et savoir que je devait de l'argent à un type alimenterais les ragots pendant quelques semaines ici, ce que je ne voulais surtout pas. Je pris le type derrière moi par le bras, pour l'entrainer sur la piste de danse, où la musique forte empêcherait les hommes d'entendre que j'avais foiré une affaire.


« Comment ça, je te dois de l'argent? C'est toi qui m'en dois ouais ! Une nuit complète, ça coûte cher, alors tu paye et je dis rien, ou tu dégage parce que je veux pas de scandale, mais arrête de délirer. Et m'appelle pas Barbie Girl, j'aime pas ça.»

Un soupire m'échappais. Je perdais mon temps avec lui alors que je voulais trouver un client ce soir. Et une fille plantée au milieu de la piste de danse, sans danser, à parler d'argent avec un homme ce n'est pas très vendeur. Je croisais mes bras sur ma poitrine, contrariée. Il avait eu une nuit gratuite, pourquoi est-ce qu'il venait me demander de l'argent? J'ai pas de service-après vente, et mes prestations sont pas remboursables hein ! Je soupire, et prends sa main pour la mette sur ma taille, et je commence à me déhancher au rythme de la musique, en grognant à voix basse, mais un grand sourire ravi sur le visage, comme lorsque j'aborde un client. Ce n'est pas parce que je règle un petit différent que je ne vais rien trouver ce soir, et je sens le regard de l'homme à la bouteille de champagne dans mon dos, alors il a intérêt à me suivre ou je l'étripe. Si il me pourri ma soirée, je le hais définitivement, même si je sais pas son nom. Oui, j'ignore le nom de mes clients parfois. Peut-être me l'a-t-il dit lors de la soirée, mais j'ai oublié. Je suis sûre qu'il a oublié le mien si il m'appelle Barbie Girl.. Je disais toujours mon nom à mes clients, même si lors de nos ébats la plupart ne s'en souvienne déjà plus, et le remplace parfois par des injures.. question d'habitude, ça vient avec le temps. Au début je refusais totalement que l'on me traite avec un terme plus fort que coquine, et maintenant je ne refusais plus rien. Par contre physiquement j'avais des barrières strictes, que aucun clients ne franchirait, pour protéger mon intégrité morale, me dire que je pouvais séparer vie privée et vie professionnelle, bien que pour le moment, l'une des deux soit totalement déserte. Il ne dansait quasiment pas, je devais le pousser, alors je soufflais :

« Danse, si je perd des clients à cause de toi, je te jure je t'étripe. Alors fait un effort s'il-te-plait !»



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